A la nuit noire * funambule 12

Publié le par C comme Corinne

A la nuit noire, mardi mes pas m'ont tout naturellement conduits lĂ -bas...

 

place des Vosges mardi 7 septembre

 

Une place déserte, d'une beauté à pleurer, un écho sous les voutes de la promenade.

 

Et là, au milieu, ce jardin, grilles fermées. J'en ai fait deux fois le tour. Retrouver les cailloux qui nous avaient menées là, à pas comptés.

 

Et je nous y ai vu, là sur notre banc berceau. Une ombre de nous y est restée je crois.

Il a sans doute encore dans ses veines, les mots, les mots et les rires, les rires et les pétillements dans les yeux, des pépites de soleil...

 

 Je sais dĂ©sormais que mĂȘme au plus noir, il y a ce jardin qui Ă©claire...

 

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Commenter cet article
M
<br /> <br /> J'aime l'idée que les lieux gardent nos passages en souvenir ...<br /> <br /> <br /> amitié .<br /> <br /> <br /> <br />
RĂ©pondre
C
<br /> <br /> C'est tellement rassurant de le penser !<br /> <br /> <br /> <br />